Seisme a haiti le pape francois appelle a la solidarite et a lengagement de tous

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La première réponse à cette question Maison est le thème de cette année : Utiliser le cœur, connaître le cœur. Se connaître, connaître son cœur et son mode de vie nous permet de travailler à améliorer notre condition en minimisant le risque de contracter une maladie cardiovasculaire.

La prévention est le premier pas vers la santé cardiaque ! Parmi les piliers de la prévention des maladies cardiovasculaires, on retrouve une liste d’actions visant précisément à atténuer tous les facteurs de risque modifiables :

Que peut-on faire pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires ?

Le concept de ventilation mécanique non invasive (VNI) fait référence à la capacité de fournir une assistance ventilatoire par les voies respiratoires supérieures du patient, à l’aide de masques ou d’autres dispositifs.

La technique se distingue de celles qui contournent les voies respiratoires, par la mise en place d’une sonde trachéale, d’un masque laryngé ou d’une trachéotomie et qui, par conséquent, sont considérées comme invasives.

Les ventilateurs pulmonaires sont des équipements sophistiqués qui permettent de proposer différents modes de ventilation au patient. Même l’application d’une pression positive des voies respiratoires (CPAP), si elle est mise en œuvre avec un ventilateur mécanique, implique l’inévitable interaction machine/patient dans les différentes phases de l’acte respiratoire.

DE LA VENTILATION MÉCANIQUE À LA CPAP

  • DE LA VENTILATION MÉCANIQUE À LA CPAPCette interaction machine/patient, très utile dans les méthodes de ventilation complexes, peut ne pas l’être du point de vue de la performance globale, dans une modalité simple comme la CPAP.
  • Cela se comprend facilement si l’on considère, par exemple, la nécessité d’activer un déclencheur inspiratoire ou de passer à la phase expiratoire.

Le déclencheur (= trigger) représente un système de communication entre le patient et le ventilateur, c’est ce signal qui, s’il est détecté par le ventilateur, démarre la phase inspiratoire ou la phase expiratoire. C’est donc l’outil utile pour synchroniser le cycle du ventilateur aux demandes du patient. Le déclencheur inspiratoire est le signal qui démarre la phase inspiratoire tandis que le déclencheur expiratoire démarre la phase expiratoire.

L’utilisation d’un ventilateur pulmonaire pour appliquer une pression positive sur les voies respiratoires implique inévitablement un travail respiratoire supplémentaire pour le patient (pour atteindre le seuil de déclenchement et donc permettre l’ouverture et la fermeture des valves inspiratoires et expiratoires).

En mode CPAP

Il n’est pas essentiel que la machine reconnaisse à chaque instant dans quelle phase de l’acte respiratoire nous nous trouvons, mais cela se produit inévitablement en raison de la façon dont les ventilateurs sont conçus et structurés.

Un autre problème qui peut survenir en mode CPAP avec ventilateurs est que l’appareil n’est pas capable d’adapter instantanément le débit du mélange au patient si le patient a des besoins ventilatoires élevés, des débits inspiratoires élevés (patient aigu) : il se produit donc une sorte de retard dans la délivrance du flux qui pourrait entraîner une chute de pression dans les voies respiratoires lors de l’inspiration.

Par rapport aux ventilateurs traditionnels, il existe sur le marché des appareils plus simples, conçus pour administrer uniquement du CPAP, qui ne présentent pas le problème du cycle de déclenchement.

Pour l’instant, nous ne ferons référence qu’aux cas dans lesquels l’assistance ventilatoire non invasive s’effectue grâce à l’utilisation d’un masque ou d’un casque, et donc pas à ceux appelés « systèmes à haut débit par canules nasales » (HFNC).

  • Ces systèmes HFNC ne créent pas de véritable Cpap, mais garantissent seulement un effet PEP (pression positive télé-expiratoire), qui ne dépasse pa
  • s 5 cmH20, et ne couvre donc pas la majorité des pathologies respiratoires, notamment celles en phase aiguë. Systèmes haut débit avec générateur de type Venturi
  • Un système Venturi est un système qui permet d’accélérer le flux de gaz en le forçant dans un tube en forme de cône. Lors de la constriction du conduit, le gaz augmente sa vitesse et réduit sa pression, produisant un vide partiel.

Lorsque le gaz quitte la restriction, sa pression augmente à nouveau jusqu’au niveau ambiant ou du tuyau

  1. Si l’on fait donc une fenêtre vers l’extérieur du conduit, dans cette section très étroite où aura été générée une faible pression de gaz, l’air ambiant sera aspiré à l’intérieur du conduit par un gradient de pression (de la pression la plus élevée à la pression la plus basse).
  2. Le résultat final à la sortie du conduit est un mélange du gaz déjà présent à l’intérieur du conduit (par exemple de l’oxygène) avec l’air ambiant : ce mélange aura une vitesse d’écoulement et un débit (débit par unité de temps) très élevés. haut.

Lorsque le gaz quitte la restriction, sa pression augmente à nouveau jusqu'au niveau ambiant ou du tuyauDans un système de ce type avec de l’oxygène comme gaz source, introduit à l’intérieur du „Venturimètre” et avec l’air ambiant aspiré par gradient de l’extérieur, la FiO2 (fraction inspirée d’oxygène) délivrée au patient dépend directement du mélange gazeux généré. , qui dépend à son tour de la quantité d’air ambiant qui est entrée dans le conduit par la fenêtre.

Si une FiO2 élevée est nécessaire (donc une forte concentration d’oxygène dans le gaz global), la fenêtre de rappel de l’air ambiant doit être fermée, ce qui entraînera un faible débit global de mélange vers le patient, vice versa si une faible FiO2 est nécessaire (donc une faible concentration de FiO2). oxygène dans le gaz global), la fenêtre qui aspire l’air ambiant sera très ouverte, ce qui entraînera des flux élevés de mélange vers le patient.