Le siège de la CSC cambriolé (suite)

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Chaque fois qu’il y a un message du Chef de l’Etat, Radio-Congo fait réagir des personnalités politiques, syndicales ou de la société civile. Quand on lui a demandé de réagir, notamment à propos de la situation financière du pays peinte par le président de la République, Daniel Mongo, le secrétaire général de la C.S.C, semble être resté sur sa faim. «J’aurais aussi aimé entendre le président parler des situations endogènes. C’est-à-dire que nous nous avons un problème sur des questions de gestion; nous avons beaucoup de faiblesses (…). Lorsque la situation était bonne, lorsqu’on a géré et qu’il y a eu des dérapages, quelle a été la sanction punitive pour les gestionnaires? Entre les Congolais, les écarts sont énormes entre ceux qui sont devenus trop riches et rapidement, et ceux qui sont pauvres et trop pauvres aujourd’hui», a-t-il déclaré. «Lorsqu’on veut regarder et sauvegarder l’essentiel, qu’est-ce qu’on fait? On s’assied, on discute, on échange et on trouve une ligne médiane», a-t-il ajouté. Comme dirait l’autre, il semble que le secrétaire général de la CSC ait tenté de lancer un appel du pied au gouvernement pour qu’il ouvre un dialogue avec les syndicats dans l’optique de l’application des éventuelles mesures que pourrait préconiser le FMI avec lequel le Congo doit entrer en programme dans  quelques semaines. Car les travailleurs pourraient, entre autres, en payer le tribut.

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