Mais réussira-t-on à rétablir la confiance au sein de la classe politique congolaise?

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Si le ministre de l’intérieur et de la décentralisation a invité les partis politiques à prendre part à la séance de travail qu’il a présidée, lundi 7 décembre dernier, sur la réforme de la loi électorale, la délégation du Frocad-I.d.c, les deux plateformes de ce qu’il se veut être appelée, désormais, «l’opposition réelle», conduite par Clément Mierassa, n’était pas la bienvenue. On lui reproche de ne pas faire partie du «consensus de Sibiti». Et selon les tenants de la majorité présidentielle, il n’y aura plus d’autre dialogue. «En considération de ce qui précède, la délégation de l’opposition s’est vue dans l’obligation de se retirer de la salle», dit un communiqué de presse publié par l’opposition, le 9 décembre, sur cet incident. Bref, maintenant que l’opposition appelée «radicale» a décidé d’intégrer le dialogue, la majorité refuse de la recevoir. A cette allure, la prochaine élection présidentielle pourra-t-elle être apaisée?

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