Les braquages n’ont toujours pas encore totalement disparu à Pointe-Noire

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Ces derniers temps, les braquages et autres vols nocturnes se multiplient dans les quartiers de la capitale économique. La police ne pouvant être présente partout à la fois, cela pousse la population à se faire, malheureusement, justice. C’est ainsi que, jeudi 20 août 2015, au quartier Tchiali, dans le quatrième arrondissement Loandjili, vers minuit, un voleur cagoulé, rattrapé puis tabassé par des jeunes, a trouvé la mort. Samedi 22 août 2015, au quartier Mboukou, ex-Mouyondzi, un certain «Machine de guerre», un jeune-homme de 23 ans, mais devenu tristement célèbre par ces actes, est mort d’hémorragie, suite à une balle reçue au pied gauche au moment de sa fuite, après avoir tenté d’assassiner un homme nuitamment dans sa maison, à l’aide d’un coupe-coupe. La même nuit, cette fois-ci à Tchimbamba, dans le premier arrondissement, un veilleur de nuit a été surpris par trois bandits à son lieu de travail. Ils l’ont assommé de coups de machettes. Grâce aux aboiements des chiens et des cris de la victime, les gens sont venus à son secours. Le chef de bloc l’a conduit à l’hôpital général A. Sicé. Aux dernières nouvelles, sa vie n’est plus en danger. Enfin, mardi 25 août 2015, au quartier Fond Tié-Tié, dans le troisième arrondissement, vers le contre-rail en allant à Mpaka, trois jeunes garçons munis d’armes blanches se sont rués sur une femme commerçante qui partait acheter des légumes chez les maraîchers. Des passants l’ont secouru et mis la main sur un des trois assaillants, qu’ils ont brûlé, vif, à l’aide de pneus. Le corps de la victime, complètement calciné et enveloppé dans un drap de fortune, a été enterré à la va-vite.

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